♉ Anastasia L. Roselli

ANASTASIA L ROSELLI

« I am the architect of my own Destruction. »

PSYCHOLOGICAL CONFESSIONS

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HISTORY OF MY LIFE

Belle Anastasia. Comme sa mère aimait la surnommer. Mais plus les années passaient et moins elle pouvait l'entendre dans le creux de son oreille. Son enfance n'est ni bonne ni mauvaise, à ses yeux elle est tout simplement normal ; même si elle rêvait d'avoir la vie d'une princesse.
Elle est née dans une petite ville en Corse, d'un père et d'une mère qui s'étaient connu très jeune. Mais plusieurs mois après sa naissance, sa mère décida de partir du jour au lendemain, sans avertir le père, s'exilant vers l'Amérique. Tout ce passait bien, et malgré que le père avait tout les droits de porter plainte, il préféra ne rien faire et attendre son tour, que sa fille lui revienne. Du côté de la mère, tout ce passait bien. Elle est aidé par sa famille, des amis, et refait sa vie, avec sa fille Anastasia. Elles avaient une si belle maison au bord de l'eau, et ne manquait jamais de rien. Bien malheureusement, la jolie brune ne connu que très tard la lumière du jour, enfermée h24 dans la maison, les volets clos. A dix-huit ans, lorsque sa mère tomba gravement malade, Anastasia se rebella, et vola la voiture de sa maternelle pour allez en ville. Quelle grossière erreur. Tout ce qu'elle découvrit n'était qu'horreur, désastre. Violence, sang, mort. Des corps éparpillés ici et là, des familles massacrées à la vue de tous. Impuissante, Anastasia continua de rouler en direction de l'hôpital, enfermée dans sa voiture. Mais elle comprit très vite que ceci ne servait à rien, surtout.. qu'elle était la seule en voiture sur la 9th. Il fallut que quelques minutes à des membres d'un gang pour lui tomber dessus, la sortant de force de sa voiture et réduire en miette cette dernière. S'entraînant au combat depuis jeune pour passer le temps, Anya réussit à se débattre le temps d'un instant, jusqu'à recevoir un coup derrière la tête.
Lorsqu'elle se réveilla, la jeune demoiselle se trouvait assise sur une chaise si inconfortable, les mains liées dans le dos, et un sac noir qu'on lui retira quelques secondes après avoir reprit connaissance. La lumière braquée sur elle était si forte qu'elle ne réussit à voir que la silhouette de l'homme qui se trouvait face à elle.
Je suis content de te rencontrer...
Il sembla essayer de lire sa carte d'identité.
Anastasia Lesia. Si cela ne te dérange pas, je préfère t'appeler Anya.
Un long silence suivit, alors que la jeune femelle fermait un oeil, puis l'autre, et ceci pendant un moment pour tenter de voir le visage de son interlocuteur.
Désolé pour la violence de mes amis.
Il attrapa un verre posé sur la table et avala son continu d'un trait.
Tu as de la chance d'être tombé sur nous, nous avons pu soigner ta maman.
Quand l'inconnu parla de sa maternelle, Anastasia s'agita brutalement pour lui sauter au cou ; sa poitrine atterri sur le bureau de l'homme, intercepté en quelques secondes par des hommes présent dans la salle.
Je te rassure, elle n'a rien, au contraire. Tu pourra la voir si tu veux, mais tu devra faire des choses pour moi en échange.

C'est à partir de ce jour que sa vie bascula. Tout les soirs, Anya se devait de tuer un homme, sans qu'elle ne sache pourquoi. Habillée d'une magnifique robe blanche, la demoiselle jouait les pauvres demoiselle abusée demandant de l'aide, et une fois la confiance faite, elle tuait ses victimes de ses propres mains. N'ayant jamais été attrapé, ou aperçu légèrement, on surnommait cette dernière la Dame Blanche. Il n'est jamais bon de croiser sa route. Payée en médicaments, elle voyait que très rarement sa mère, jusqu'au jour où une discutions entre deux chasseurs arriva à ses oreilles.
Tu crois qu'elle va le découvrir quand cette débile que sa mère est morte depuis des mois ?
Je vous laisse imaginer la suite. Manipulée par sa colère, elle assassina  ces derniers et des hommes présents dans les environs, aussi silencieuse qu'une fourmi, profitant de ce moment de défouloir pour s'échapper de cette prison, malgré le fait qu'elle se savait traqué. Depuis, elle a apprit à se débrouiller seule, vieillissant avec cette profonde haine envers les gangs, préférant vivre seule éloigné de toute civilisation.